C’est très bien d’avoir fait des coupes !
L’implantation en dégradé pour épouser la topographie du site est également une bonne idée. Néanmoins, il faut un ancrage plus fort au site car en regardant votre coupe, on y croit, mais en plan un peu moins. Il manque un plan d’accessibilité, des contraintes liées au fait que ce soit un site inondable …. qui pourrait justifier un peu plus de cette implantation.
On aurait aimé voir le plan du PPRI. Quelle stratégie pensez vous adopter face à votre site inondable ?
Concernant l’échelle du projet : son rayonnement se veut à l’échelle de la ville ou de la région, de … comme je vous l’ai dit la dernière fois, la justification de votre programme, va également dépendre de ça !
Je vous remercie de votre retour. J’ai essayé de compléter mon document grâce à vos remarques.
Concernant l’implantation dans le site en plan, j’ai essayé de suivre les nouvelles courbes de niveau, en proposant un bâtiment principal et plusieurs pavillons qui s’insèrent dans le site en proposant des points d’observation du site. Le terrain n’étant inondable que sur une petite surface tout au nord-ouest du site, il m’a été plus simple de composer avec cette contrainte. En effet, je souhaite positionner un pavillon sur cette zone, ce qui permettra une nouvelle expérience dans le parcours. Le reste du projet n’est quant à lui pas sur une zone inondable et est plutôt ancré dans la terre, dans l’idée de développer d’architecture non volumétrique.
Concernant le rayonnement du projet, j’ai essayé de répondre aux premières questions dans un PDF dans la bibliographie. Je souhaite développer un rayonnement tant local que régional. Le rayonnement local répond directement aux besoins locaux de l’île, exprimés par le maire de celui-ci.
Quant au rayonnement régional, je réfléchis encore à la manière dont ce projet pourrait rapprocher Paris à sa banlieue Nord. Un des projets que veut développer l’île est un port public dédié au transport fluvial des marchandises sur ce site, juste en dessous du projet l’îlo (projet n°12 dans Bibliographie). Pour le moment, c’est l’unique piste que j’ai et je continue à en chercher d’autres.
L exemple bibliographique illustre bien le contexte d’un programme adapté
à son site .
Avec une orientation marquée sur la mise en valeur de l’environnement immédiat – Nature 2000 etc..
Ramené au contexte du projet lui même sur l’île Sain Denis , ça confirme les premières orientations programmatiques .
Etendues au surplus aux questions propre à la ville et à la région .
Donc sur ce point tout est O.K.
On peut maintenant se concentrer sur la problématique qui nos intéresse – L’intégration d’un bâtiment dans son paysage .
Sur cette question primordiale , la bibliographie – la maison GUERLAIN
n’est pas exemplaire : il agit de bâtiments existants qui ont reçu une double peau dont l’organisation est assez » plate » et finalement assez classique dans sa géométrie .
il faudrait se nourrir d’une bibliographie qui montre comment topographie et inscription du bâtiment s’organise :
Je pense par exemple au cimetière de Enrique Mirales à Barcelone , mais il y a d’autres exemples .
des étudiants de ce groupe de PFE en ont aussi montré :
– Le projet dans le Puy de Dôme .
– Le projet de construction en terre du crue en Algérie .
Il faut donc compléter la biblio , pour cette question .
De fait l’esquisse ne répond pas complétement pour l’instant à cette thématique entre bâtiment et topographie .
Il faut comprendre aussi que les lignes de topograhie peuvent se » sculpter » et le bâtiment peut s’inscrire dans cette sculpture topographique .
Il faut multiplier – peut être – les maquettes d’études pour y parvenir.
3 comments
Nazila Hannachi says:
Avr 2, 2020
C’est très bien d’avoir fait des coupes !
L’implantation en dégradé pour épouser la topographie du site est également une bonne idée. Néanmoins, il faut un ancrage plus fort au site car en regardant votre coupe, on y croit, mais en plan un peu moins. Il manque un plan d’accessibilité, des contraintes liées au fait que ce soit un site inondable …. qui pourrait justifier un peu plus de cette implantation.
On aurait aimé voir le plan du PPRI. Quelle stratégie pensez vous adopter face à votre site inondable ?
Concernant l’échelle du projet : son rayonnement se veut à l’échelle de la ville ou de la région, de … comme je vous l’ai dit la dernière fois, la justification de votre programme, va également dépendre de ça !
el halouti.sophia says:
Avr 5, 2020
Bonjour madame,
Je vous remercie de votre retour. J’ai essayé de compléter mon document grâce à vos remarques.
Concernant l’implantation dans le site en plan, j’ai essayé de suivre les nouvelles courbes de niveau, en proposant un bâtiment principal et plusieurs pavillons qui s’insèrent dans le site en proposant des points d’observation du site. Le terrain n’étant inondable que sur une petite surface tout au nord-ouest du site, il m’a été plus simple de composer avec cette contrainte. En effet, je souhaite positionner un pavillon sur cette zone, ce qui permettra une nouvelle expérience dans le parcours. Le reste du projet n’est quant à lui pas sur une zone inondable et est plutôt ancré dans la terre, dans l’idée de développer d’architecture non volumétrique.
Concernant le rayonnement du projet, j’ai essayé de répondre aux premières questions dans un PDF dans la bibliographie. Je souhaite développer un rayonnement tant local que régional. Le rayonnement local répond directement aux besoins locaux de l’île, exprimés par le maire de celui-ci.
Quant au rayonnement régional, je réfléchis encore à la manière dont ce projet pourrait rapprocher Paris à sa banlieue Nord. Un des projets que veut développer l’île est un port public dédié au transport fluvial des marchandises sur ce site, juste en dessous du projet l’îlo (projet n°12 dans Bibliographie). Pour le moment, c’est l’unique piste que j’ai et je continue à en chercher d’autres.
Vous remerciant par avance de votre retour,
Sophia
Eric Locicero says:
Avr 6, 2020
L exemple bibliographique illustre bien le contexte d’un programme adapté
à son site .
Avec une orientation marquée sur la mise en valeur de l’environnement immédiat – Nature 2000 etc..
Ramené au contexte du projet lui même sur l’île Sain Denis , ça confirme les premières orientations programmatiques .
Etendues au surplus aux questions propre à la ville et à la région .
Donc sur ce point tout est O.K.
On peut maintenant se concentrer sur la problématique qui nos intéresse – L’intégration d’un bâtiment dans son paysage .
Sur cette question primordiale , la bibliographie – la maison GUERLAIN
n’est pas exemplaire : il agit de bâtiments existants qui ont reçu une double peau dont l’organisation est assez » plate » et finalement assez classique dans sa géométrie .
il faudrait se nourrir d’une bibliographie qui montre comment topographie et inscription du bâtiment s’organise :
Je pense par exemple au cimetière de Enrique Mirales à Barcelone , mais il y a d’autres exemples .
des étudiants de ce groupe de PFE en ont aussi montré :
– Le projet dans le Puy de Dôme .
– Le projet de construction en terre du crue en Algérie .
Il faut donc compléter la biblio , pour cette question .
De fait l’esquisse ne répond pas complétement pour l’instant à cette thématique entre bâtiment et topographie .
Il faut comprendre aussi que les lignes de topograhie peuvent se » sculpter » et le bâtiment peut s’inscrire dans cette sculpture topographique .
Il faut multiplier – peut être – les maquettes d’études pour y parvenir.