Je vous remercie pour cet effort de mise en page qui rend plus facile la lecture de vos planches …
Le travail en coupe est très intéressant!
Vous proposez trois parcours, un mythique (du point de départ vers la mer), un architecturale (qui parcours les 3 « monuments »:grotte, monastère, …) et un de transition (qui relie les deux, et dont le nom est moins poétique et plus fonctionnel, qui au final est là pour relie ces deux parcours principaux … quel est son caractère ?).
Vous les représentez par des coupes (AA, BB, CC, si j’ai bien compris) qui, bien qu’intéressantes avec leurs différents points de vues, ne reflètent pas la particularité de chaque parcours … on a l’impression (mais je pense que ça va évolué)que vous les traitez tous de la même manière …
Que représente pour vous un parcours mythique (que doit-on ressentir quand on le parcoure ?) et qu’est ce qui fait qu’il est différent d’un parcours architecturale (Est ce la main de l’homme qui prime ici ?) ???
Vous prévoyez de démolir les hôtels présents à proximité, vous les reconstruisez où ? sous terre ? sauf erreur de ma part, je ne les vois pas sur les plans.
Oui les remarques de Nazila , sont assez pertinentes , car le parcours constitue l’essence du musée , s’ y ajoute que l on a aussi un dispositif scénographique qui s’y reporte ou justement la différenciation des ambiances contribue à la qualité du lieu et de architecture .
A ce sujet , la stratégie du ( des ) bâtiments enterrés est assez intéressante , mais l faut lui donner plus de nuances :
– Un musée , c’est aussi la lumière – et par n’importe quelle lumière .
Une lumière zénithale qui ne porte pas ombre sur les œuvres .
Il faut en regarder des exemples qui sont nombreux .
La question de l’épaisseur entre l’intérieur du musée enterré et l’extérieur se pose aussi , par la relation entre la lumière et la technicité employée pour traiter cette épaisseur .
S ajoute que dans ce projet type d enfouissement , il y a aussi et souvent un élément signal qui identifie le bâtiment et en permet l’entrée .
En conclusion :
– Il faudrait faire une maquette d étude et de comprendre l’intégration générale du bâtiment avec le site et sa topographie .
– dans ce contexte de volumétrie globale ( car il y a bien une inscription générale du bâtiment ) il faut en étudier l’accès et signaler l’équipement ; ce qui est visible et invisible .
– le statut de cette épaisseur entre extérieur et intérieur , doit aussi être un élément de programmation du parcours , de la lumière , des ambiances . de » l’ouvert et du fermé » ‘ et aussi de l’énergie et de l’écologie du bâtiment .
2 comments
Nazila Hannachi says:
Avr 3, 2020
Bonjour Karl,
Je vous remercie pour cet effort de mise en page qui rend plus facile la lecture de vos planches …
Le travail en coupe est très intéressant!
Vous proposez trois parcours, un mythique (du point de départ vers la mer), un architecturale (qui parcours les 3 « monuments »:grotte, monastère, …) et un de transition (qui relie les deux, et dont le nom est moins poétique et plus fonctionnel, qui au final est là pour relie ces deux parcours principaux … quel est son caractère ?).
Vous les représentez par des coupes (AA, BB, CC, si j’ai bien compris) qui, bien qu’intéressantes avec leurs différents points de vues, ne reflètent pas la particularité de chaque parcours … on a l’impression (mais je pense que ça va évolué)que vous les traitez tous de la même manière …
Que représente pour vous un parcours mythique (que doit-on ressentir quand on le parcoure ?) et qu’est ce qui fait qu’il est différent d’un parcours architecturale (Est ce la main de l’homme qui prime ici ?) ???
Vous prévoyez de démolir les hôtels présents à proximité, vous les reconstruisez où ? sous terre ? sauf erreur de ma part, je ne les vois pas sur les plans.
Bon courage
Eric Locicero says:
Avr 5, 2020
Oui les remarques de Nazila , sont assez pertinentes , car le parcours constitue l’essence du musée , s’ y ajoute que l on a aussi un dispositif scénographique qui s’y reporte ou justement la différenciation des ambiances contribue à la qualité du lieu et de architecture .
A ce sujet , la stratégie du ( des ) bâtiments enterrés est assez intéressante , mais l faut lui donner plus de nuances :
– Un musée , c’est aussi la lumière – et par n’importe quelle lumière .
Une lumière zénithale qui ne porte pas ombre sur les œuvres .
Il faut en regarder des exemples qui sont nombreux .
La question de l’épaisseur entre l’intérieur du musée enterré et l’extérieur se pose aussi , par la relation entre la lumière et la technicité employée pour traiter cette épaisseur .
S ajoute que dans ce projet type d enfouissement , il y a aussi et souvent un élément signal qui identifie le bâtiment et en permet l’entrée .
En conclusion :
– Il faudrait faire une maquette d étude et de comprendre l’intégration générale du bâtiment avec le site et sa topographie .
– dans ce contexte de volumétrie globale ( car il y a bien une inscription générale du bâtiment ) il faut en étudier l’accès et signaler l’équipement ; ce qui est visible et invisible .
– le statut de cette épaisseur entre extérieur et intérieur , doit aussi être un élément de programmation du parcours , de la lumière , des ambiances . de » l’ouvert et du fermé » ‘ et aussi de l’énergie et de l’écologie du bâtiment .